ahora ya lo entiendo.
Tú me perdiste a mi»
Julieta Venegas
– Suenas como despechada. ¡A-D-M-Í-T-E-L-O!
– La verdad, es que para ti sueno como si tus experiencias pasadas de despecho hablaran a través de mi. Pones tu historia en el presente que ahora recito.
– Ajhá.
– Es Truffaut. Ya te dije. Yo lo culpo a él y a Catherine Deneuve… pero más a Catherine, por ser fiel a su naturaleza de Catherine.
«Je me sens horriblement triste de votre tristesse. Aujourd’hui, je ne puis m’empêcher de vous dire ce que savent mes cheveux blancs et ce que ne peut pas ignorer votre finesse: il n’existe pas de ruptures accidentelles. Les ruptures sont toujours nécessaires. Seulement, on ne le sait jamais dans le moment même, et on souffre come si on avait perdu l’essentiel, on se reproche de n’avoir pas su surmonter les circonstances. Cette souffrance est inutile, inadéquate, mais elle n’est pas moins cuisante car elle absorbe toutes les actiones et toutes les pensées. “Vous avez eu toutes les chances, trop de chances”, dites-vous. C’est vrai. Et vous les méritiez. Mais vous aurez encore celle de rencontrer l’essentiel.»
31 décembre, 1970. Lettre de Aimée Alexandre au son «petit François tendrement chéri» pour le reconforter à cause de la rupture avec Catherine Deneuve….
Catherine era una fuerza de la naturaleza… como todas las Catherines (con C o con K) que me he topado en la vida, y eso que ahora te hablo de Jules et Jim. Esa ha sido la constante – o konstante – en mi vida.
Las Katherines que suelen interpelar como “Kathytas”…. ay esas Cathys, esas Kathys… esas Catalinas!
Kathy
Katty
Niña Catita
Kathe de Neuve
La Sirène du Missisippi.
Pourtant… je l’aime bien. Elle a fait après Le Dernier Metro. Je l’aime bien.
Porque… ¿no hay de otra? ¿o sí?