«Alors que j’avais passé ma jeunesse à sécher l’école pour aller au cinéma, dès que je me suis retrouvé avec Les Films du Carrosse et un bureau, eh bien je n’ai pas pu manquer un jour de bureau en vingt ans. Même les jours où sort un nouveau Bergman ou un nouveau Fellini, j’attends sept heures du soir pour y aller, probablement parce que je me sens responsable vis-à-vis de ceux qui travaillent avec moi.»
Propos recueillis par Serge Daney, Jean Narboni et Serge Toubiana . « Cahiers du Cinéma », N° 315-316, septembre 1980.
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