Es una exquisitez…
«Ce qu’on voit pendant deux heures est de cette beauté qui se suffit mal du mot beauté pour se définir: il faudrait dire de ce défilé d’images qu’il est, qu’elles sont simplement sublimes. Mais le lecteur d’aujourd’hui supporte mal le superlatif. Tant pis. je pense de ce film qu’il est d’une beauté sublime.»
Y entonces la vida, el arte, el cine… todo se confabuló para que Jean-Luc pensara en Cyrus Bassiak para la música. ¿Por qué lo escogió? Casualidades del destino de la Nouvelle Vague, je crois.
«Comme la vie est affreuse! mais elle est toujours belle. Si c’est avec d’autres mots, cela revient au même.»
Y apareció Marianne Renoir que tout le temps appelle son amour Pierrot. Je m’appelle Ferdinand! Il dit… Jamais je ne t’ai dit que je t’aimerai toujours, oh mon amour…
«Qu’est-ce que je peux faire? Je ne peux rien faire… Qu’est-ce que je peux faire? Je ne peux rien faire»
La primera cita corresponde a un artículo exquisito de Louis Aragon. ¡Soberbio!