«Comment est-il possible par exemple de se comporter, d’un côté comme si rien au monde n’avait plus d’importance que la littérature, alors que de l’autre il est impossible de ne pas voir alentour que les gens luttent contre la faim et sont obligés de considérer que le plus important pour eux, c’est ce qu’ils gagnent à la fin du mois ? Car il (l’écrivain) bute sur un nouveau paradoxe : lui qui ne voulait écrire que pour ceux qui ont faim découvre que seuls ceux qui ont assez à manger ont loisir de s’apercevoir de son existence.»
Me siento en el bosque de las paradojas del que habla Le Clézio, pero no me limitaría a un conflicto que sólo involucra a la literatura, sino también a las demás ciencias del mundo de la vida. ¿Cómo es posible sobrellevar el peso de lo cotidiano, la premura de llevar un pan a la boca para ti y para los tuyos y a la vez poder concentrarte en encontrar profundidad y belleza en un escrito que te conmueve, digamos, en un poema de Baudelaire?
Creo vislumbrar alguna luz en la cocina… cosas bellas del mundo de la vida, bien sûr!