“Ils disent que ce n’est rien, qu’on ne souffre pas,
que c’est une fin douce, que la mort de cette façon
est bien simplifiée.
que c’est une fin douce, que la mort de cette façon
est bien simplifiée.
Eh! qu’est-ce donc que cette agonie de six semaines
et ce râle de tout un jour? Qu’est-ce que les angoisses
de cette journée irréparable, qui s’écoule si lentement
et si vite? Qu’est-ce que cette échelle de tortures qui
aboutit à l’échafaud?
Apparemment ce n’est pas là souffrir.”
Ce texte est parce que je vous admire Victor Hugo et Je n’ai pas trouvé un meilleur moyen de vous faire un petit hommage que vous citer “LE DERNIER JOUR D’UN CONDAMNÉ Chapitre XXXIX”
et…. C’est le jour de mon douce France…
Puxa, debí haber estudiado francés también… no entiendo ni michi :S
😀
felizmente google tiene herramientas de idioma