Un chef d’État intègre ou un Parlement ayant le sens des responsabilités politiques pourrait-il, face à une grave crise démocratique, nommer ministre de la Défense un fonctionnaire mis en cause pour « incapacité, manque de leadership et de stratégie », coupable de négligence lors d’une opération militaire qui avait tourné à l’échec ? Eh bien, oui, Dina Boluarte, la première femme présidente de l’histoire du Pérou, l’a fait, et cela avec le soutien total de la solide majorité d’extrême-droite de l’actuel Congrès péruvien.Voir l’article complet via le lien suivant: https://idarennes.hypotheses.org/10831