Relations entre la Belgique et le Luxembourg, la Belgique et le Pérou

Les premiers Belges avant la lettre, enregistrés dans un voyage vers le nouveau Monde furent Jan Cosijn et Jean de la Deule qui venaient de Gand et se trouvaient à bord du bateau de Cristoforo Colombo ou Christophe Colomb, lors de sa seconde expédition maritime en 1493.

Belges (avant la lettre) et Incas (d’avant le Pérou) furent pratiquement…compatriotes!

En effet le 24 février 1500 est né à Gand le Jeune Charles de la famille des Habsourg qui sera connu chez les Espagnols sous le nom de Carlos Iro et dans le reste du monde sous le nom de Charles Quint. Dont l’accueil fastueux à Bruxelles est toujours célébré sous le nom de l’Omegang. Il fut couronné … à Bruxelles dans l’église St Michel et Gudule et il y abdiqua en faveur de son fils Philippe II. La cérémonie « civile » s’étant donnée en son superbe palais, le palais de Charles Quint lequel se trouvait à hauteur de la place Godefroid de Bouillon et du Coudenberg à Bruxelles.
Lorsqu’il régnait encore desquels dépendait le territoire de l’actuelle Belgique, le Grand Mexique C’est lui d’ailleurs qui donna son blason à Lima, la capitale péruvienne en lui donnant deux aigles qui se font face pour rappeler l’aigle bicéphale (regardant vers l’extérieur) du blason de sa famille.

Dans la cathédrale de Bruxelles, l’église St Michel et Gudule se trouve un vitrail sur lequel apparait la représentation de la patronne de Lima, Sainte Rose de Lima.

Une légende prétend que les Gilles de Binche représenteraient des danseurs venus du Nouveau Monde et du Pérou présenté par les conquistadores à travers une partie de l’Europe dont la ville de Binche qui reproduisit avec ses habitants cet événement. Détail intéressant il existe toujours actuellement une “société” de danseurs à binches s’appelant “Les Incas”.

En dehors des écrivains et illustrateurs espagnols ou métis comme Guaman Poma de Ayala et Martin de Murua, un des plus fameux illustrateurs du Nouveau monde était le Liégeois Théodore De Bry, qui, pourtant, n’en foula jamais le sol.

L’indépendance du Pérou est proclamée à Lima le 28 juillet 1821 par le Général José de San Martin
M. José Mariano de la Riva Agüero Premier Président du Pérou (28 février 1823) épousa la princesse belge Arnoldine Caroline de Looz Corswarem qu’il avait rencontré à Bruxelles.
Le Royaume de Belgique, et le Grand Duché de Luxembourg avec le Royaume des Pays-Bas établissaient le Benelux[1], en 1943 désignant une convention monétaire, qui réglementait les transactions et facilitait les relations économique entre les trois pais, en 1944 s’y ajoute une convention douanière et une Union économique, la première du genre en Europe, est scellée par le traité de 1958 un traité pour 50 ans (un nouveau traité a été signé entre les trois pays le 17 juin 2008) qui jettera les bases même de la Communauté Economique Européenne qui préfigurera (et représentera une sorte de laboratoire politique pour) l’Union Européenne d’aujourd’hui.
Les familles régnantes de Belgique et du Luxembourg sont parentes directes et de sang[2].
Sa Majesté Léopold III, Roi des Belges eut trois enfants avec son épouse Astrid de Suède, Joséphine Charlotte, Baudouin et Albert. Si Baudouin et Albert furent successivement 5e et 6e Roi des Belges. Ce dernier eut pour enfants Philippe, Astrid et Laurent. Le Prince Philippe devenant 7e Roi des Belges (et son épouse Mathilde d’Udekem d’Acoz est de fait devenue la Reine Mathilde) à l’abdication de son père le Roi Albert II, le 21 juillet 2013.De son côté, l’ainée d’Albert et Baudouin, la Princesse Joséphine Charlotte, épousa Jean de Luxembourg qui deviendra Grand Duc de Luxembourg 1964. Ils auront pour enfants Marie-Astrid, Henri, Jean & Margaretha (des jumeaux) et enfin Guillaume.
Le Roi Philippe 1er est donc le cousin germain du Grand Duc Henri de Luxembourg dont le Parrain n’est autre qu’Albert II Père de l’actuel Roi Philippe.
Le Grand Duc Henri a pour fils ainé et héritier Guillaume né le 11 novembre 1981
Georges Rémy alias Hergé, fut un des auteurs de Bandes dessinées qui fut certainement un des premiers promoteurs modernes du Pérou et la culture inca par ses Aventure de Tintin et les 7 boules de Cristal et plus encore avec la suite les Aventures de Tintin et le Temple du Soleil, alors que comme Théodore de bry il n’y mit jamais le pied.
M. Alejandro Toledo Président du Pérou entre 1996 et 2001 lui aussi était marié à Mme Eliane Karp qui possédait passeport belge.
Selon l’Historien Belgo-péruvien Eduardo Dargent la plus grande contribution de la Belgique au Pérou fut dans le domaine de l’Enseignement, même si ses contributions furent diverses en de nombreux domaines.
Des Belges (de Gembloux) dont Jules Gaudron furent à l’origine de l’Université Agraire de Lima
François Watteau fut à l’origine de la première banque privée du Pérou
Le Palais de Justice de Lima (plus petit et sans coupole) fut copié des plans de l’architecte Bruxellois Joseph Poelaerts et est don une réplique du Palais de Justice de Bruxelles.
Les petits pains « français » de Lima ont été apportés par des Belges Francophones qui y ont transposés leurs « pistolets » (petits pains divisés par une raie médiane) assimilés à leurs voisins de France en raison de leur langue.
“Les Belges du Pérou par eux-mêmes et Guy Vanackeren” est réalisé par notre premier Président Fondateur.
“Les Flamands et l’Amérique du Sud Coloniale” a été écrit par Eduardo Dargent historien Belgo-péruvien.

[1] http://www.benelux.int/fr/benelux-unie/nouveau-traite-benelux
[2] http://www.lessentiel.lu/fr/news/luxembourg/story/12607061

In: http://www.camaraccblp.com/le-saviez-vous-

Hugo Coya renunció a la presidencia de Instituto Nacional de Radio y Televisión del Perú – IRTP

Periodista presentó su carta de renuncia ante Salvador del Solar, quien hoy también anunció su alejamiento del Ministerio de Cultura

El Ejecutivo designó a Hugo Coya en la presidencia ejecutiva del IRTP en agosto del 2016. Él renunció al cargo este miércoles. (Foto: Archivo El Comercio)

El periodista Hugo Coya anunció su renuncia a la presidencia ejecutiva del Instituto de Radio y Televisión del Perú (IRTP), cargo en el que fue designado por el Poder Ejecutivo en agosto del 2016.

A través de Twitter, Coya compartió la carta que ha dirigido a Salvador del Solar, quien hoy también anunció su renuncia al cargo de ministro de Cultura.

El saliente funcionario agradeció también a todos los trabajadores de los medios de comunicación del Estado.

“Este período al frente del Instituto ha sido muy enriquecedor y me gustaría aprovechar la oportunidad para agradecerle a usted, a los funcionarios y empleados que conforman tanto el IRTP, como el Ministerio de Cultura”, señala Hugo Coya.

Hugo Coya comunicó su renuncia vía Twitter solo minutos después de que hiciera lo propio Salvador del Solar.

En: elcomercio

Peruvian President loses allies over Fujimori pardon

Kuczynski, Cipriani and Keiko Fujimori. Image: https://www.laprimera.pe/wp-content/uploads/2017/07/FOTO-NOTA-1-PAGINA-4-LS-1.jpg

Lima, Dec. 27 (IANS): The repercussions of Peruvian President Pedro Pablo Kuczynski’s Christmas Eve pardon for disgraced former head of state Alberto Fujimori continued to be felt as allies distanced themselves from the incumbent, and human rights organisations explored ways to send Fujimori back to prison.

Roger Rodriguez, the head of the human rights division of the Justice Ministry, along with two members of Peru’s High-Level Commission on Peace, Reparation and Reconciliation, Daniel Sanchez and Katherine Valenzuela, announced their resignation on Tuesday, Efe news reported.

Their resignation letters were published in Lima daily La Republica.

Fujimori “did not qualify for the granting of a humanitarian pardon”, Rodriguez wrote, while Sanchez said he would find it “shameful” to represent the government in discussions with victims of Fujimori, who was sentenced to 25 years behind bars for massacres and other crimes committed during his 1990-2000 tenure.

Lawmaker Alberto de Belaunde also resigned from Kuczynski’s PPK party and two other members, Vicente Zeballos and Gino Costa, are expected to follow suit in the coming days amid continuing street protests over the pardon.

On another front, the human rights organisation Aprodeh asked the Inter-American Court of Human Rights to order the Peruvian government to provide information on the pardon and to hold a public hearing on the matter.

Kuczynski signed the pardon just three days after he avoided impeachment due to the votes of 10 opposition lawmakers led by Fujimori’s son Kenji, prompting many to suspect that political machinations were at work in the decision.

Kuczynski became President by defeating Keiko Fujimori — Kenji’s older sister — in a 2016 runoff. During the campaign, he vowed not to pardon Alberto Fujimori.

The Commission on Presidential Clemency concluded that Fujimori was suffering from a “progressive, degenerative and incurable disease” likely to be aggravated by the conditions in prison.

But according to legislator Indira Huilca, Fujimori enjoyed comfortable conditions in prison.

In: easternmirrornagaland

Funcionarios de Derechos Humanos de Perú renuncian tras indulto a Fujimori

Los funcionarios que dimitieron de sus cargos son: el director general de Derechos Humanos del Ministerio de Justicia, Roger Rodríguez, además del secretario técnico de la Comisión Multisectorial de Alto Nivel sobre paz, reparación y reconciliación (CMAN), Daniel Sánchez; y la responsable del Programa de Reparaciones Simbólicas de esa comisión, Katherine Valenzuela.

Imagen: https://www.minjus.gob.pe/wp-content/uploads/2014/02/Ministerio-de-Justicia-y-Derechos-Humanos1.jpg

Lima, 26 dic (Andes).- Tras el indulto presidencial concedido al expresidente Alberto Fujimori, los funcionarios del Departamento de Derechos Humanos del Ministerio de Justicia de Perú renunciaron a sus cargos

Los funcionarios que dimitieron de sus cargos son: el director general de Derechos Humanos del Ministerio de Justicia, Roger Rodríguez, además del secretario técnico de la Comisión Multisectorial de Alto Nivel sobre paz, reparación y reconciliación (CMAN), Daniel Sánchez; y la responsable del Programa de Reparaciones Simbólicas de esa comisión, Katherine Valenzuela.

Rodríguez manifestó que Fujimori “no calificaba para la concesión de un indulto humanitario”, mientras que Sánchez aseguró que le “resulta insostenible permanecer en la institución y, en un contexto así, vergonzoso, representar a una oficina que dialoga permanentemente con las víctimas”.

De su parte, Valenzuela se excusó señalando que no podía mantener la representación del Ministerio de Justicia “cuando intercambie con un familiar de alguna persona desaparecida o ante una comunidad arrasada por la violencia”.

La víspera de Navidad, el presidente Pedro Pablo Kuczynski otorgó el indulto humanitario, lo que ha generado manifestaciones de protesta en todo el país por el pacto con el fujimorismo.

Esta acción se dio pocas horas después de que el mandatario se salvara de su destitución en el Congreso por sus vínculos con la constructora brasileña Odebrecht, gracias a la abstención de diez diputados fujimoristas.

El expresidente fue condenado en 2009 a 25 años de prisión como autor mediato (con dominio del hecho) del asesinato de 25 personas en las matanzas de Barrios Altos (1991) y La Cantuta (1992), perpetrada a cargo del grupo militar encubierto Colina, y por el secuestro de un periodista y un empresario en 1992.

Agencias/Jb/gc

En: andesinfoec

Secretario técnico de la Comisión Multisectorial de Alto Nivel sobre paz, reparación y reconciliación renunció a su cargo tras el indulto a Fujimori

A través de un documento, recalcó que hay una “incompatibilidad esencial” entre promocionar una política pública de reparaciones a las víctimas de la violencia del terrorismo, y dejar libre a quien contribuyó con el sufrimiento.

Luego de que se produjera el cuestionado indulto al ex mandatario Alberto Fujimori , el secretario técnico del CMAN (Comisión Multisectorial de Alto Nivel sobre paz, reparación y reconciliación), Daniel Sánchez Velásquez hizo oficial su renuncia al cargo con dependencia al Ministerio de Justicia  (Minjus).

“La razón de mi renuncia obedece al reciente indulto y derecho de gracia al señor Alberto Fujimori, procesado y condenado por crímenes contra los derechos humanos”, se lee en un documento con destinatario al ministro de Justicia, Enrique Javier Mendoza Ramírez.

De acuerdo a la carta, que fue compartida en Twitter , Sánchez sostiene que hay una incompatibilidad esencial entre promocionar una política pública de reparaciones a las víctimas de la violencia del terrorismo, y dejar libre a quien respondió, de acuerdo a su criterio, con delitos terribles que contribuyeron al sufrimiento de la sociedad nacional.

A su vez, sostuvo que el Minjus no tuvo la misma celeridad e impulso para la tramitación del indulto, refiriéndose a la atención de las reparaciones a las víctimas civiles, policiales y militares “que tanto vienen esperando”.

“Me resulta insostenible permanecer en la institución, y en un contexto así, representar a una oficina cuya función y finalidad es justamente tener un diálogo permanente con las víctimas para construir una efectiva reconciliación nacional”, aseveró.

En: peru21

Presidente de Servir renunció: Indulto quiebra los principios del Estado

Juan Carlos Cortés presentó su carta de renuncia a la premier Mercedes Aráoz. “Me debo a mi mismo y a mi familia la coherencia y el respeto a mis propios valores morales”, dijo.

Juan Carlos Cortes, ex presidente ejecutivo de Servir. Imagen: https://prod.media.larepublica.pe/720×405/larepublica/imagen/2017/12/26/noticia-funcionario-servir.jpg

Juan Carlos Cortés Carcelén, presidente ejecutivo y miembro del Consejo Directivo de la Autoridad Nacional del Servicio Civil, dio a conocer este martes su renuncia irrevocable al cargo en un oficio dirigido a la presidenta del Consejo de Ministros, Mercedes Aráoz.

Según argumenta el funcionario, su decisión es una respuesta que condice a los principios que defiende y que no convergen con el indulto humanitario que otorgó el presidente Pedro Pablo Kuczynski al exdictador Alberto Fujimori.

“Considero que lo que ha sucedido el día 24 de diciembre (…) quiebran no solo las bases del Estado de Derecho, sino principalmente esos principios que estamos obligados como funcionarios públicos a promover y defender”, expresó.

Como se recuerda, a pocas horas de la Nochebuena, el mandatario otorgó el indulto y derecho de gracia a Fujimori, quien venía cumpliendo una condena de 25 años por los delitos de La Cantuta, Barrios Altos y secuestros al periodista Gustavo Gorriti y el empresario Samuel Dyer.

“En mi vida como servidor del Estado me he regido por principios éticos que hoy se sienten socavados y me obligan a tomar esta decisión. Me debo a mi mismo y a mi familia la coherencia y el respeto a mis propios valores morales”, acotó.

En el transcurso del día han presentado sus renuncias otros funcionarios del Ministerio de Justiciapor estar disconformes con el otorgamiento del beneficio presidencial.

En: larepublica

El ministro peruano de Cultura renuncia al cargo tras el indulto a Alberto Fujimori

El ministro peruano de Cultura, Salvador del Solar, anunció hoy su renuncia al cargo, después de las protestas generadas por el indulto otorgado por el mandatario Pedro Pablo Kuczynski al ex presidente Alberto Fujimori (1990-2000).

Imagen: https://ojo.pe/media/thumbs/uploads/img/2016/12/06/salvador-del-solar-se-ausen-jpg_700x0.jpg

A través de su cuenta en Twitter, Del Solar informó que presentó su renuncia y agradeció “al Presidente de la República por haberme dado la oportunidad de servir a nuestro país”.

En las últimas horas, el también actor y director de cine había recibido innumerables peticiones de activistas de derechos humanos y artistas para que abandone el Ejecutivo, en consecuencia con su defensa de los valores democráticos y de justicia.

La renuncia de Del Solar se sumó a las de los legisladores Alberto de Belaunde y Vicente Zeballos a la bancada oficialista de Peruanos por el Kambio, tras declarar su rechazo al indulto otorgado al ex presidente de 79 años.

También han renunciado el director general de Derechos Humanos del Ministerio de Justicia, Roger Rodríguez; y el secretario técnico de la Comisión Multisectorial de Alto Nivel sobre paz, reparación y reconciliación (CMAN), Daniel Sánchez.

Asimismo, la responsable del Programa de Reparaciones Simbólicas de esa comisión, Katherine Valenzuela, y el asesor presidencial ad honorem, Máximo San Román.

De igual forma, el presidente ejecutivo del Instituto Nacional de Radio y Televisión, Hugo Coya, presentó hoy su renuncia al cargo, después de protestar por las lesiones sufridas por un cámara que cubría la marcha, el día de Navidad, contra el indulto otorgado a Fujimori.

En este ambiente, el jefe de Estado tomará hoy juramento al nuevo ministro del Interior que reemplaza a Carlos Basombrío, quien dimitió al cargo la semana pasada, tras las denuncias de presuntos vínculos de Kuczynski con la empresa brasileña Odebrecht.

El viceministro de Seguridad Pública, Ricardo Valdés, también presentó su renuncia, según confirmó ayer el jefe de comunicaciones del ministerio, Manuel Boluarte.

Kuczynski otorgó el indulto y derecho de gracia a Alberto Fujimori, que tenía una condena de 25 años de cárcel, tres días después de haberse salvado de la destitución en el Congreso con los votos de abstención de un sector del fujimorismo.

En: elmundo.es

Gino Costa se suma a renuncias en bancada de PPK tras indulto

Parlamentario oficialista informó que respeta la prerrogativa de PPK para otorgar el indulto a Alberto Fujimori, “pero no comparto la manera cómo se ha ejercido”.

Gino Costa. Imagen: http://radiolibertad.com.pe/wp-content/uploads/2017/12/59492f59973ab.jpeg

Un oficialista menos. El congresista Gino Costa informó la tarde de este lunes que en los próximos días formalizará su renuncia a la bancada de Peruanos por el Kambio por discrepar con el indulto otorgado al exdictador Alberto Fujimori.

Mediante su cuenta de Twitter, el parlamentario dijo que respeta la prerrogativa de PPK para hacer uso de la dación de la gracia presidencial, pero precisó que no comparte la manera “cómo se ha ejercido” esta.

“Respeto la prerrogativa del Presidente de la República de conceder el indulto humanitario, pero no comparto la manera cómo se ha ejercido. Lamento tener que anunciar que en los próximos días formalizaré mi renuncia a la Bancada de Peruanos Por el Kambio”, anotó.

Máximo San Román no seguirá como consejero presidencial

El también ex vicepresidente había dicho que Mercedes Aráoz no tiene la “solvencia” indicada para continuar al mando de la PCM

Maximo San Roman. Imagen: http://ancashaldia.com/wp-content/uploads/2016/08/maximo-san-roman.jpg

Mercedes Aráoz continuará al frente de la presidencia del Consejo de Ministros tras recibir una larga explicación del titular del Ministerio de Justicia, Enrique Mendoza, sobre el trámite que siguió el indulto a Alberto Fujimori anunciado en víspera de Navidad.

Aráoz se queda en el cargo a pedido del mandatario Pedro Pablo Kuczynski (PPK), aunque la también congresista de Peruanos por el Kambio ha pedido “reglas claras” y “ciertas garantías” para no renunciar a su puesto.

Uno de los acuerdos derivados de la conversación entre ambos es el cese del asesor presidencial Máximo San Román por manejarse con una “agenda propia” y declarar a la prensa sin haber conversado antes con el mandatario, indicaron fuentes del Ejecutivo.

Máximo San Román declaró hace unas semanas que el jefe del Estado escucha más al ex primer ministro Fernando Zavala que a la propia Mercedes Aráoz.

Y el último 25 de diciembre consideró en una entrevista que esta debería renunciar al carecer del “prestigio” y “solvencia” para el cargo. Está previsto que la resolución que formaliza la salida de San Román se publique hoy en “El Peruano”.

Imagen: https://img.elcomercio.pe/files/listing_ec_flujo_xx/uploads/2017/12/27/5a43d42f67802.jpeg

Ayer el vocero alterno de Peruanos por el Kambio, el congresista Juan Sheput, lamentó las renuncias de Vicente Zeballos, Gino Costa y Alberto de Belaunde a la bancada oficialista.

Sin embargo, indicó que “más importante que el número es la cohesión ideológica y la disciplina” de su agrupación. Agregó que no sabe si más legisladores les seguirían los pasos.

Sí cuestionó, aunque sin precisar nombres, el trabajo del entorno más cercano del mandatario y consideró que “debería marcharse”

En: elcomercio

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